“…Toutefois, de nombreuses études réalisées au Canada et ailleurs dans le monde ont montré que le médecin de première ligne demeure le coordonnateur principal des soins pendant la période de survie et qu'il peut prodiguer efficacement les soins dans les cas de cancer à faible risque (Del Guidice et al, 2009;Mao et al, 2009;Grunfeld et al, 1995Grunfeld et al, , 1996Grunfeld et al, , 1999Grunfeld et al, , 2006Sisler, Brown et Stewart, 2004;Wattchow et al, 2006;Wood, 1993). Ye, Cheung, Goddard, Horvat et Olson (2015) ont établi que, règle générale, les radio-oncologues se chargent du suivi des patients aux cancers plus complexes (ceux qui touchent le système nerveux central, le tractus gastro-intestinal, la tête et le cou, et l'appareil gynécologique et génito-urinaire) à cause de la toxicité liée au traitement et de la possible nécessité de traitements supplémentaires. De l'avis des oncologues, les médecins de première ligne auraient besoin d'une formation plus poussée, ainsi que de lignes directrices plus détaillées, pour assurer le suivi ici.…”