2006
DOI: 10.1080/02589340600618081
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Fools, philologists and philosophers: Afrikaans and the politics of cultural nationalism

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“…Webb, Laffon and Pare (2010) hold that many white Afrikaans speaking people believe that if their language loses power, their community will also be disempowered. Kriel (2006) states that Afrikaners think that their culture depends on the survival of their language and that 'language should act as the substitute for the lost, never-to-be-found again state' (56). The connection between power and languages is explicit.…”
Section: Afrikaans Sal Blymentioning
confidence: 99%
“…Webb, Laffon and Pare (2010) hold that many white Afrikaans speaking people believe that if their language loses power, their community will also be disempowered. Kriel (2006) states that Afrikaners think that their culture depends on the survival of their language and that 'language should act as the substitute for the lost, never-to-be-found again state' (56). The connection between power and languages is explicit.…”
Section: Afrikaans Sal Blymentioning
confidence: 99%
“…Although the participants in these battles often availed themselves of the language of minority rights as deployed in European multiculturalist discourses, 4 theirs was in essence a revisionist return to Afrikaner nationalist thought clad in the cloak of 'community' (cf. Kriel, 2006).…”
Section: The Assertion Of Group Rights and Cultural Activismmentioning
confidence: 99%
“…Les médias étaient au centre de ces conflits, non seulement en tant que sujet de discorde, particulièrement en ce qui concernait le statut de l'afrikaans dans les médias publics, mais également comme chambres d'écho. Bien que les parties à ces conflits aient souvent fait usage du droit des minorités linguistiques et du multiculturalisme, leurs discours sont essentiellement fondés sur (un retour à) la pensée nationaliste afrikaner 31 .…”
Section: La Défense Des Droits De La Minorité Afrikaansunclassified
“…bien qu'exprimé dans l'idiome de la culture et de l'ethnicité, l'enjeu premier est avant tout politique : « Si l'État et le pouvoir politique sont hors de portée, une part conséquente des pouvoirs politique et économique peut être préservée en gardant le contrôle des écoles, des universités, des académies, des maisons d'édition, des associations culturelles. En d'autres termes : la politique, c'est le pouvoir, mais on peut prendre et conserver le pouvoir par des institutions autres que l'État 33 .» Comme l'écrit Kriel, pour ces groupes, la langue peut « se substituer à l'État perdu à jamais. La langue peut être le nouveau territoire 34 .» Si c'est le déclin de l'afrikaans dans la sphère publique qui a amené ces groupes à s'engager dans le débat, les médias privés afrikaans ont constitué une plateforme depuis laquelle exprimer leurs revendications, jusqu'à aujourd'hui.…”
Section: La Défense Des Droits De La Minorité Afrikaansunclassified