“…Arthrodèse transitoire en rectitude, suture sous forte tension de l'appareil extenseur et appareillage dynamique en extension ont pour objectif de limiter ce déficit. Kimori et al [13], par la reconstruction systématique de la peau dorsale et des bandelettes latérales le cas échéant, semble parvenir à limiter ce déficit sans que cela se fasse au détriment de la flexion mais au prix d'une rançon cicatricielle majorée. Foucher et al [16] proposent de sous-dimensionner le transplant afin de limiter sa tendance à la flexion et de suturer les poulies natives à la berge de la gaine, évitant l'effet corde d'arc du tendon fléchisseur.…”