“…I, 2 [Kühn 1821: 224]). Sans entrer dans ce débat, je me bornerai à remarquer que cette mention conjointe de l'homme et du singe, ainsi que l'affirmation de leur proximité anatomique, illustre qu'aux yeux du médecin le singe n'était pas tout à fait un animal comme un autre (Boudon-Millot 2005, 2008. Et de fait, de façon au premier abord surprenante, Galien va désapprouver l'utilisation de singes que leur proximité avec l'homme semblait pourtant recommander pour une telle expérience.…”