Abstract• Genetic structures of five population pairs each consisting of one natural population and one neighbouring plantation of Pinus roxburghii Sarg. in Nepal were assessed using nuclear (nSSRs) and chloroplast microsatellite loci (cpSSRs).• The mean number of alleles at nSSRs loci in natural populations was 5.0 compared to 4.93 in plantations while the average observed heterozygosities were the same in both groups (H 0 = 0.50). Most of the alleles were common to all the populations, indicating that the populations correspond to a single genetic entity. Similarly forty-seven haplotypes were observed in natural populations compared to fifty haplotypes in plantations. Mean haplotype diversities of natural populations (0.953) and plantations (0.955) were very similar. Genetic diversity of Pinus roxburghii was relatively high with low or no evidence of inbreeding while genetic differentiation among all populations was very low (about 1%).• The very low differentiation among natural populations indicates efficient long-distance gene flow among populations resulting in homogeneous genetic structures at least at selectively neutral loci. Even though the harvest and production of seeds and seedlings was largely uncontrolled, genetic structures of most plantations show no signs of reduced variation, inbreeding or other negative effects compromising the adaptedness or adaptability of planted forests. • Les structures génétique de cinq paires de populations composées chacune d'une population naturelle et d'une plantation voisine de Pinus roxburghii Sarg. au Népal ont été évalués à l'aide de loci nucléaires (nSSRs) et de loci microsatellites chloroplastiques (cpSSRs).
Mots• Le nombre moyen d'allèles à loci nSSRs dans les populations naturelles était de 5,0 comparé à 4,93 dans les plantations alors que la moyenne des hétérozygoties observées étaient les mêmes dans les deux groupes (H 0 = 0,50). La plupart des allèles étaient communs à toutes les populations, indiquant que les populations correspondent à une seule entité génétique. De même, quarante-sept haplotypes ont été observés dans les populations naturelles par rapport à cinquante haplotypes dans les plantations. La diversité moyenne des haplotypes des populations naturelles (0,953) et des plantations (0,955) étaient très similaires. La diversité génétique de Pinus roxburghii a été relativement importante, avec peu ou pas de preuve de consanguinité tandis que la différenciation génétique entre les populations était très faible (environ 1 %).• Le très faible différenciation entre les populations naturelles indique des flux de gènes efficaces à longue distance entre les populations issues de structures génétiques homogènes avec au moins une sélectivité neutre des loci. Même si la récolte et la production de semences et de plants ont été largement incontrôlées, les structures génétiques de la plupart des plantations ne montrent aucun signe de réduction de la variation de la consanguinité ou d'autres effets négatifs compromettant la faculté d'adaptation des forêts plant...