“…Contrairement à ce qui est parfois véhiculé, il n'y a aucun indice comportemental ni symptomatologique qui puisse cue associé de façon significative avec le fait pour un enfant d'être victime de sévices sexuels (Benedek & Schetzky, 1985; Campbell, Casoni & Gattuso, 1993; Cooke & Cooke, 1991; Hall, 1989; Levy, 1989; Underwager, Wakefield, Legrand, Bartz & Erickson, 1986; Wakefield & Underwager, 1991), Les vietimes de sévices sexucls proviennent de toutes lea classes sociales et peuvent réagir de multiples façons devant l'agneasion sexuelle comme devant d'auirea types de stress on de traumatismes, d'ailleurs. Bien que de nombreux auteurs (Emans, 1987; Hughes & Barad, 1983; Jaffe Wolf, Wilson & Zak, 1986) aient cherché à verifier des hypothèses associant un symptôme psychologique ou comportemental et le fait d'être victime de sévices sexuels, les résultats de ces necherches permettent de conclure qu'un tel lien ne peut être retrouvé de facon fiable.…”