“…Un des points les plus contestés est que l'index environnemental, constitué par les moyennes de l'ensemble des variétés dans chacun des lieux, n'est pas indépendant des données étudiées, ce qui peut introduire un biais dans l'estimation des paramètres de la régression (Freeman, 1973 ;Crossa, 1990 ;Gauch, 1992 (Freeman, 1973 ;Lin et al, 1986 ;Westcott, 1986 ;Becker et Crossa, 1990 ;Gauch, 1992 (1992,1996 , le blé (Crossa et al, 1991 ;Nachit et al, 1992a, b), le colza (Shafii et al, 1992), l'orge , le maïs (Cornelius, 1993) et le haricot sec (Saindon et Schaalje, 1993 (Freeman et Perkins, 1971 ;Rameau et Denis, 1992) ou par une ou plusieurs variables du milieu (Jones, 1979 ;Nor et Cady, 1979 ;Beckett, 1982 ;Kang et Gorman, 1989 ;Gorman et al, 1989). Les (Denis, 1980(Denis, , 1988 (Baril et al, 1995), les pratiques culturales, les pressions parasitaires (Jackson et al, 1993(Jackson et al, , 1994 (Tai, 1975(Tai, , 1990 (Tai, 1990) (Hühn, 1996 ; voir aussi tableau VI). La plupart sont basées sur le rang des génotypes dans chaque environnement, ce sont alors à la fois les effets du génotype et les effets d'interaction géno-type-milieu qui sont pris en compte.…”