Aside from representing the biggest default of its kind in history, the Argentine default in December 2001 triggered severa! important, albeit largely neglected, debates on how best to manage future sovereign bankruptcies. These debates centre on the key policy to emerge from the International Monetary Fund (IMF), the so-called Sovereign Debt Restructuring Mechanism (SDRM). Despite the significance of the debates around this mechanism, particularly with respect to understanding Washington's position vis-à-vis providing new financing for Argentina, the literature on the SDRM continues to be dominated by economie analyses. As such, the SDRM has been discussed without consideration of either power relations or contradictions in the global political economy. By situating the key debates on the SDRM in this wider context, 1 suggest that the debates on the SDRM do little to promote economie stability and social justice in emerging market economies, like Argentina, but instead by reproducing the imperative of capital account liberalization, the SDRM increases the power of transnational capital over sovereign states.Résumé. En plus de représenter la plus importante banqueroute de son histoire, la suspension de paiement de la dette par l'Argentine en décembre 2001 déclencha d'importants débats sur la façon de gérer de futures faillites nationales. Ces débats se concentrent sur la politique qui émergera du Fond Monétaire International (FMI) : le Mécanisme de Restructuration de la Dette Souveraine (MRDS). En dépit de l'envergure des débats au sujet de ce mécanisme, en particulier en ce qui a trait à la position de Washington quant à la possibilité de pourvoir 1 'Argentine avec du nouveau financement, la littérature sur le MRDS continue d'être dominée par des analyses économiques. C'est pourquoi, le MRDS à été discuté sans prendre en considération les relations de pouvoir ou les contradictions émanant de l'économie politique mondiale. En situant les débats clés sur le MRDS dans ce contexte plus ample, cet essai suggère que ces débats contribuent très peu à promouvoir la stabilité économique et la justice sociale au sein des économies émergeantes, telle que 1 'Argentine. Au contraire, en reproduisant l'impératif de libéraliser le compte capital, le MRDS accroît le pouvoir du capital transnational sur celui des États souverains.