“…C'est en particulier le cas du modèle de production potentielle de luzerne proposé par Gosse et al (1984) et Lemaire et Allirand (1993). Le L'une des solutions adoptées consiste à utiliser des relations statistiques reliant l'indice foliaire à l'évolution de la température de l'air, quantifiée en termes de somme de degrés-jour (Onstad et Fick, 1983 ;Gosse et al, 1984,...) ; la forte variabilité génétique de la vitesse de repousse après défolia-tion (Canal, 1993) (1959, 1963a, b), se sont dévelop-pées des méthodes indirectes fondées sur la mesure de la probabilité directionnelle d'interception du rayonnement (Bonhomme et Chartier, 1972 ;Lang, 1987...) (Varlet-Grancher, 1974 (Asrar et al, 1985 ;Best et Harlan, 1985 ;Hatfield et al, 1985 ;Baret, 1986 ;Redelfs et al, 1987...), ou à l'efficience de l'absorption du rayonnement visible (Kimes et al, 1981 ;Daughtry et al, 1983 ;Asrar et al, 1984 ;Hatfield et al, 1984 ;Baret et al, 1988...) ont déjà été étudiées à partir de modèles de transferts radiatifs (Sellers, 1985). Les combinaisons les plus simples sont des rapports ou des différences de réflectance, éventuellement normées (Rouse et al, 1974) ; mais il existe aussi des indices de végéta-tion plus complexes, quoique souvent fonctionnellement équivalents (Perry et Lautenschlager, 1984).…”