“…En effet, si les droits et les allocations ont bien été obtenus après des années de négociation, leur application et leur adaptation sont loin d'être systématiques, ce qui peut mettre en péril l'avenir social de l'enfant malade et l'équilibre financier ou la stabilité de sa famille. Or, cette partie de l'histoire n'est plus à négliger : avec un taux de 75 % de guérison, il y a environ, en 2012, 260 000 adultes européens qui ont été traités pour un cancer dans leur enfance [5]. La qualité de vie de l'enfant et de sa famille, pendant la période des traitements et, souvent, longtemps après, a un impact social et économique qui doit être considéré comme un élément essentiel de la prise en charge globale même s'il n'a jamais été complètement évalué.…”