The effect of the rate of temperature change on fish was studied by exposing a variety of North American fish species to diel temperature cycles containing rates of change of 0.8, 1.1, 2.2, or 4.4°C·h −1 . During a simulated cool season (3.9-11.7°C), bluntnose minnow (Pimephales notatus), spotfin shiner (Cyprinella spiloptera), and white sucker (Catostomus commersonii), but not smallmouth bass (Micropterus dolomieu), gained mass in response to 0.8, 1.1, or 2.2°C·h −1 but not constant mean temperature. White sucker did not grow under 4.4°C·h −1 , which was slower than expected based upon bioenergetics models. Physiological indicators of acute stress (day 1 cortisol), chronic stress (day 44 cortisol and triglycerides), and histomorphological measures suggested no effect of treatment. During a simulated warm season (20.0-27.8°C), growth by channel catfish (Ictalurus punctatus), rosyside dace (Clinostomus funduloides), smallmouth bass, and spotfin shiner was not altered by any rate of temperature change; however, walleye (Sander vitreus) and white sucker grew slower than expected under 4.4°C·h −1 . Physiological indicators of acute stress (day 1 cortisol), chronic stress (day 29 cortisol and triglycerides), and histomorphological measures suggested no effect of treatment. Chronic exposure to temperature change of 4.4°C·h −1 may not induce an acute or chronic stress response but may slightly impair growth for some species.Résumé : L'effet du taux de variation de la température sur les poissons a été étudié en exposant diverses espèces de poissons nord-américains à des changements de température de 0,8, 1,1, 2,2 ou 4,4°C·h −1 incorporés dans les cycles thermiques nycthé-méraux. Durant une saison froide simulée (3,9-11,7°C), des ventres-pourris (Pimephales notatus), des ménés bleus (Cyprinella spiloptera) et des meuniers noirs (Catostomus commersonii), mais non des achigans à petite bouche (Micropterus dolomieu), ont gagné du poids en réponse aux traitements à 0,8, 1,1 et 2,2°C·h −1 , mais non à température moyenne constante. Les meuniers noirs n'ont pas crû à des taux de réchauffement inférieurs à 4,4°C·h −1 , ce qui est plus lent que prévu selon des modèles bioénergétiques. Les indicateurs physiologiques de stress aigu (cortisol au 1 er jour) et de stress chronique (cortisol et triglycérides au 44 e jour) et les mesures histomorphologiques ne semblent indiquer aucun effet des traitements. Pendant une saison chaude simulée (20,0-27,8°C), la croissance des barbues de rivière (Ictalurus punctatus), des ménés (Clinostomus funduloides), des achigans à petite bouche et des ménés bleus n'a été modifiée par aucun des taux de réchauffement; cependant, les dorés jaunes (Sander vitreus) et les meuniers noirs ont crû moins vite que prévu à des taux inférieurs à 4,4°C·h −1 . Les indicateurs physiologiques de stress aigu (cortisol au 1 er jour) et de stress chronique (cortisol et triglycérides au 29 e jour) et les mesures histomorphologiques ne semblent indiquer aucun effet des traitements. Si l'exposition chronique à des changemen...