“…Néanmoins, cette diversité morphologique connaît d'énormes bouleversements sous l'influence de plusieurs facteurs dont les plus persistants sont l'intervention du colonisateur (Atta, 1978) et la détermination des autorités administratives de faire respecter et appliquer les plans d'urbanisme et de lotissement (Bernus, 1964;Schwartz, 1966) Toutefois, la partialité et la particularité des propriétés structurales des instruments de recherche (Tremblay, 1968) dans la lecture de la réalité sociale et le recours récurrent à l'entretien à usage complémentaire (postérieure, parallèle, corrélative…), au questionnaire, à l'observation ou à la recherche documentaire (Blanchet & Gotman, 1992) Pour une approche plus complète et intégrale de l'explication et de la compréhension du fait social, Mauss (1926), Tremblay (1968), Mead (1979), Colleyn (1988), Chenal (2006), La Rocca (2007, Laplantine (2007), et Pezerile (2008) proposent l'utilisation de la photographie. Celle-ci est perçue comme une technique complémentaire importante dans les études de terrain (Tremblay, 1968) puisqu'« en plus de fournir une image arrêtée de la situation et d'en donner une reconstitution authentique, elle sert à recueillir des informations » (Tremblay, 1968, p. 257).…”