2009
DOI: 10.1016/j.amp.2009.08.007
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Homicide et schizophrénie : à propos de 14 cas de schizophrénie issus d’une série de 210 dossiers d’expertises psychiatriques pénales pour homicide

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“…Aussi, selon des études internationales, seuls 5 à 10% d'individus atteints de troubles mentaux sont auteurs d'homicide et les individus présentant un trouble mental sévère seraient les auteurs de 5% des infractions criminelles avec violence (21,22). L'homicide est un acte rare et il est encore plus rarement l'acte d'un schizophrène : 95% des meurtriers ne sont pas des schizophrènes (23). Il existe bien une association entre maladie mentale et violence mais cette violence est d'origine multifactorielle : la maladie mentale à elle seule ne constitue pas un facteur de risque.…”
Section: Concernant La Relation Entre Devenir Pathologie Et Infractionunclassified
“…Aussi, selon des études internationales, seuls 5 à 10% d'individus atteints de troubles mentaux sont auteurs d'homicide et les individus présentant un trouble mental sévère seraient les auteurs de 5% des infractions criminelles avec violence (21,22). L'homicide est un acte rare et il est encore plus rarement l'acte d'un schizophrène : 95% des meurtriers ne sont pas des schizophrènes (23). Il existe bien une association entre maladie mentale et violence mais cette violence est d'origine multifactorielle : la maladie mentale à elle seule ne constitue pas un facteur de risque.…”
Section: Concernant La Relation Entre Devenir Pathologie Et Infractionunclassified
“…All were committed by schizophrenic patients, and all shared distinctive features; none of the 14 homicides appear to have been premeditated, all were committed alone, and all used available means (eg. bare hands) [14].…”
Section: Deficits Of Perceptual Inhibitionmentioning
confidence: 99%
“…The caveat here is that both the author of the study attributes a motivation to this unpredictability; "Instilling the sense of fear that a physical attack is possible at any moment is one way battering men control their partners" [32]. Like the observations of Richard-Devantoy, Duflot [14], these attacks appear to be spontaneous and unpremeditated, because assailants 'mostly' used available means -victims were 'hit with objects such as telephones, lamps, chairs' [32]. To link these assailants to the psychiatric ones further, victims reported noticing symptoms that are characteristic of severe psychiatric conditions, such as "psycho eyes" and degraded speech patterns [32].…”
Section: Deficits Of Perceptual Inhibitionmentioning
confidence: 99%
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