Impersonals and other Agent Defocusing Constructions in French

Achard, Michel

doi:10.1075/hcp.50

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“…L'intérêt du sujet indéfini non-spécifique serait de permettre d'objectiver l'assertion d'existence. De fait, d'après Achard (2015), le recours au pronom indéfini on permet essentiellement de présenter les expériences individuelles comme universelles. C'est précisément cette généralisation cognitive qui affaiblit l'agent et tend à rendre la construction sémantiquement impersonnelle.…”

Section: Sujets Personnelsunclassified

“…Dans le cas de l'homogénéisation, l'expérience est présentée comme étant collective, ce qui permet de décrire une caractéristique stable représentative d'un groupe comme dans en Italie on prépare bien le tiramisu, alors que dans le cas d'une virtualisation, l'expérience est présentée comme étant vécue de façon identique par quiconque dans la même situation, ce qui permet de prédire une réaction spécifique comme conséquence naturelle d'un stimulus comme dans quand elle se met à chanter, l'on ne peut pas s'empêcher de sourire. DansAchard (2015), tous les exemples comprenant des verbes de perception relèvent du second type de généralisation : par la fenêtre on voit la place étant une façon de dire que tout un chacun regardant par la fenêtre en question verrait la même chose. Dans notre corpus, les énoncés avec on voit relèvent en réalité des deux types de généralisation.…”

unclassified

“…(Bataille, M., L'Arbre deNoël, 1967) b. D'habitude il y a dans ce genre de lieu des piles de livres, etc.En d'autres termes, les énoncés en voir peuvent être interprétés comme sémantiquement quasi-impersonnels au sens d'Achard (2015), puisqu'ils présentent des expériences visuelles généralisées. Cependant, les énoncés ayant une lecture existentielle se distinguent des énoncés perceptuels en on, décrits par Achard, en ce sens que la généralisation par virtualisation ne sert pas à garantir une certaine prédictibilité, mais à mobiliser des témoins potentiels universels.…”

unclassified

“…L'usage présentatif, abondamment décrit dans les travaux deKarssenberg (2018) etKarssenberg & Lahousse (2018), n'est toutefois pas abordé dans cette étude. Nous nous concentrons sur les usages où l'entité dont on asserte l'existence ou la présence est désignée par un SN indéfini, ce qui est une des contraintes majeures de l'interprétation existentielle (cf McNally 2011, Bentley et al 2013, 2015…”

unclassified

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De l’usage existentiel des verbes de perception

Meulleman

Sarda

2022

SHS Web Conf.

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Cet article traite de l’usage existentiel du verbe de perception voir. Nous montrons sous quelles conditions ce verbe peut être utilisé dans des énoncés thétiques pour exprimer l’existence (comme dans on voit des trèfles à quatre feuilles). La lecture existentielle de voir est conditionnée par la présence d’un ensemble de propriétés définitoires des constructions existentielles (sujet non référentiel, indéfinitude de l’objet, ancrage locatif). Nous mettons en évidence que pour satisfaire ces propriétés, les caractéristiques transitives de voir doivent être fortement affaiblies, tout particulièrement au niveau du sujet. Nous examinons dans quels contextes des commutations entre il y a et on voit sont possibles, et quel est l’apport spécifique, irréductible lié à l’usage de voir. Cette spécificité tient au fait que voir implique un actant sujet (le voyeur) qui, même réduit à un indéfini générique ou effacé dans une forme passive, persiste à divers degrés. Nous proposons d’expliquer certaines différences subtiles entre il y a et voir par cette inscription, même minimale, d’un observateur en lien avec l’assertion de l’existence ou de la présence d’une entité.

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Section: Sujets Personnelsunclassified

unclassified

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De l’usage existentiel des verbes de perception

Meulleman

Sarda

2022

SHS Web Conf.

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“…Recent years have seen an outpouring of research on pronominal impersonal constructions defocusing the agent in the described event (e.g. Achard 2015, van der Auvera et al 2012, de Cock & Kluge 2016, Creissels 2008, Egerland 2003a, 2003b, Helmbrecht 2015, Jensen 2009, Kitagawa & Lehrer 1990, Malchukov & Siewierska 2011, Malchukov & Ogava 2011, Malamud 2007, Moltmann 2010, Prince 2006, Rudolf 2014, Rudolf & Sansò 2007, Sansò 2006, Słoń 2007, Zifonun 2001. The occurrence of referential ambiguity of this kind has been well documented in various particular languages, although Swedish seems clearly underrepresented in this context.…”

Section: A Missing Languagementioning

confidence: 99%

The third person plural impersonal in Swedish. A typological account

Data-Bukowska

2019

LinCop

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The third person plural impersonal in Swedish A typological account S ł o w a k l u c z e : konstrukcje nieosobowe; zaimek osobowy; szwedzki; nieosobowe odczytania zaimka; rozmyta referencja; agent K e y w o r d s : impersonals; 3 pl personal pronoun; Swedish; impersonal readings; vague reference; agent defocusing 1 I am very grateful to the anonymous referees for the careful reading of the paper and for their comments which helped me to improve the paper.

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Meaning hides in the confusion of the construction

Szcześniak

2019

CogLS

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This study revisits constructionist (CxG) views concerning detailed and often unusual semantics of schematic constructions, especially those located toward the closed-class end of the lexicon-grammar continuum. The discussion is based mainly on a previously unstudied grammatical construction with interesting semantic properties, and it is shown that although clear semantic patterns can be observed in its most common uses, the construction is capable of expressing meanings that go beyond a preliminary characterization suggested by typical attestations. It is hypothesized that two kinds of meanings can be observed in grammatical constructions. One is the typically grammatical, relatively general meaning known to be conveyed by closed-class forms. The other includes highly detailed readings found in clearly productive patterns, which function within a construction; these relatively rich meanings are not necessarily the content of a construction. Based on uses of a number of constructions discussed here, it is suggested that many characterizations of the semantic content of schematic constructions proposed in the literature may be too detailed. The study concludes in proposing a correlation, under which the degree of specificity of a construction’s meaning depends on the amount of fixed lexical material found in it.

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Impersonals and other Agent Defocusing Constructions in French

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De l’usage existentiel des verbes de perception

De l’usage existentiel des verbes de perception

The third person plural impersonal in Swedish. A typological account

Meaning hides in the confusion of the construction

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