“…Par exemple, Dillard et al (1996) ont mis en évidence que bien que la plus forte émotion générée par les appels à la peur soit de la peur, ceux-ci produisent également des niveaux significatifs de surprise, d'embarras, de colère et de tristesse. Les appels à la peur peuvent produire d'autres réactions affectives incluant l'irritation (Kirscht, Haefner, 1973), le dégoût, le sentiment d'impuissance (Leventhal, Trembly, 1968), un état de tension (La Tour, Pitts, 1989) et différents degrés d'instabilité émotionnelle comme l'anxiété, la perte du plaisir, et la dépression (Kohn et al, 1982). Le rapport exact entre ces autres émotions et les effets sur la persuasion est inconnu.…”