“…La démonstration la plus pertinente actuellement, même si elle n'est pas, de notre point de vue, absolue, est celle de l'inhibition des effets antalgiques des AINS, administrés par voie intrathécale, par des antagonistes des récepteurs CB1, eux-mêmes injectés par voie centrale [2,21,32,68]. Il a, enfin, été montré que l'ibuprofène, le kétorolac et le flurbiprofène étaient capables d'inhiber la FAAH, enzyme qui permet la dégradation de l'anandamide [26,27,33].…”