Cette étude propose une lecture du roman The Woman in White de Wilkie Collins à la lumière de textes de Paul Ricoeur. Partant d’une expression de Collins dans sa préface de 1860 sur les « considérations métaphysiques » suscitées par le roman, on montre la centralité des questions d’identité, de secret, d’origine du mal et de vérité, et le rôle du corps frissonnant comme médiateur entre sensation et pensée.