“…Néanmoins on signale récemment la mise à jour de l'inventaire des lichens d'Algérie d 'Aït Hammou et al (2014) ainsi que la synthèse historique et bibliographique de l'exploration lichénologique en Algérie d 'Amrani et al (2015) ; Amrani et al (2018). Aussi, des inventaires de la richesse lichénique de différentes régions d'Algérie ont été réalisés : Semadi et al (1997), Rebbas et al (2011), Serradj et al (2013), Khedim (2014), Boutabia et al (2015), Merabti et al (2018), Ali Ahmed et al (2017, Hamralaine et al (2019), Yahia et Marniche (2019)… et c'est dans ce sens que notre article se veut d'apporter sa contribution à l'études des lichens d'Algérie et plus précisément dans le Parc national du Djurdjura (PND), considéré comme une réserve de la biosphère en abordant aussi bien les lichens épiphytes, c'est à dire corticoles, que les lichens saxicoles et terricoles de la région de Tikjda (PND), surtout que depuis la découverte d'Amygdalaria tellensis par Esnault et Roux (1987), aucune autre publication scientifique n'a été réalisée sur les lichens de ce parc, qui semble contenir près de 52 espèces lichéniques sur son territoire (PND, 2015).…”