“…Parmi les autres indicateurs personnels et sociaux liés à la consommation de BZ chez les personnes âgées, on peut noter : le rôle de la famille (mauvaises relations familiales, incitation au recours aux BZ) (Allard et al, 1995; Mishara, 1996; Pérodeau, Paradis, Ducharme, Collin, et St-Jacques, 2003), le rôle du médecin de famille (c’est-à-dire, la difficulté à refuser un médicament, la crainte de perdre la clientèle, l’incertitude face à un diagnostic, un volume de pratique élevée, un sentiment de responsabilité limitée envers les patients, un manque de connaissances au sujet des problèmes vécus pas la clientèle âgée) (Beall, Baumhover, Maxwell, et Pieroni, 1996; Bradley, 1992; Chinburapa, Larson, et Brucks, 1993; Cormack et Howells, 1992; Davidson, Molly, Somers, et Bédard, 1994; Hartzema et Christensen, 1983; Monette, Tamblyn, McLeod, Gayton, et Laprise, 1994), une attitude favorable aux BZ (Clinthorne, Cisin, Balter, Mellinger, et Unlenhuth, 1986; Fortin et al, 2006; Illife et al, 2004; Manheimer et al, 1973; Pérodeau et Ostoj, 1990; Pérodeau et al, 1992, 2006; van Hulten et al, 2001, 2003) ainsi que, de façon plus rarissime dans la documentation scientifique, le fait de ressentir peu de contrôle (van Hulten et al, 2001, 2003).…”