“…Ce modèle postule une vulnérabilité à la survenue des troubles schizophréniques. Des gènes impliqués dans le neurodéveloppement et/ou des facteurs environnementaux survenant dans les phases précoces du développement du sujet induisent des troubles du déve-loppement cérébral qui, à leur tour, prédisposent à l'apparition ultérieure de psychose [4]. Les recherches actuelles visent à définir les cibles de prévention et à augmenter l'efficacité des soins, ce qui permettrait notamment de réduire les évolutions déficitaires de la maladie, d'améliorer le pronostic fonctionnel (relations sociales, insertion professionnelle) et éventuelle-ment de diminuer l'incidence de la maladie.…”