“…Si, comme le montre l'excellente synthèse réalisée par Audet (2008), les recherches anglo-saxonnes et québécoises sur les facteurs qui influencent la persévérance sont nombreuses et variées, en France, hormis les travaux sur les formations de base (Leclercq, 2006), elles restent quasi inexistantes. Le phénomène est désigné sous diverses dénominations : taux de persévérance (Robitaille, 1991), taux d'abandon (Chénard, 1989), taux de non-achèvement (Leduc, 1991).…”