“…La double prise de conscience de la progression de la forêt sur des parcours moins utilisés et de la difficulté à contenir les ligneux ne débouche qu'assez tard sur des mesures concrètes. Dans le domaine scientifique, Aymonin (1981) est le premier à se faire l'avocat d'une politique de conservation du patrimoine naturel des Grands Causses. Parmi les formations à protéger, il insiste sur les forêts, mais il retient les pelouses à allure steppique pour lesquelles l'enrésinement lui semble être la seule menace.…”