“…Vingt-quatre pour cent de ces familles ont recours à l'automédication et 50 % ont eu recours à la médecine traditionnelle (les guérisseurs et marabouts). À travers l'enquête sur le vécu, les différentes équipes ont constaté la souffrance physique intense des personnes polyhandicapées et l'absence en Tunisie d'outil d'évaluation [10,11,12]. En effet, l'identification et l'évaluation de la douleur chez la personne polyhandicapée se heurtent à maintes difficultés et ne se conçoivent objectivement que par une hétéroévaluation auprès de l'aidant familial ou du soignant référent.…”