Cet ouvrage est la version remaniée d'une thèse de doctorat en sciences sociales qui a été soutenue à l'Université de Lausanne en septembre 2011.Un grand merci à Patricia Roux pour sa con ance et son accompagnement dans ce travail. Par ses remarques, elle m'a fait apprécier de remettre sans cesse l'ouvrage sur le métier. Cette collaboration a été pour moi riche à bien des égards.Mes remerciements vont également aux membres de mon jury, Nicky Le Feuvre, Pascale Molinier et Gilles Moreau pour leurs commentaires, leurs suggestions et leurs critiques. Ces premiers échanges m'ont permis d'a ner mes analyses et surtout de construire des collaborations dont j'apprécie chaque jour la richesse.Je suis extrêmement reconnaissante à Jacqueline De Puy et Magdalena Rosende, amies et collègues, pour leur écoute et con ance, leurs encouragements, relectures et suggestions à divers moments de ce travail.Patrick Auderset m'a apporté une aide inestimable en faisant preuve d'un soutien indéfectible dès la première esquisse. Il a largement contribué à transformer des résultats de recherche en un véritable livre.Je tiens à remercier Lucienne Chevalier pour sa relecture nale de l'ouvrage. Ses suggestions ont largement contribué à en améliorer la tenue.Merci encore à mes collègues de l'IFFP, en particulier Barbara Duc, Marine Jordan, Letizia Saugy et Jürg Schweri, pour leurs encouragements, leur patience et leur soutien.J'adresse mes remerciements aux ami•e•s, dont mille petits gestes m'ont rappelé quotidiennement le soutien, si précieux dans les moments de doute.Cette recherche a été rendue possible grâce au soutien de l'Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle. En nançant ce projet à l'interne, l'IFFP m'a donné l'occasion de mener une recherche approfondie sur plusieurs années. Ce faisant, j'ai pu béné cier des conditions pour travailler dans une relative sérénité et m'atteler à ce travail de doctorat.Ma reconnaissance va encore à l'association Transition école métier -TEM, en particulier à Svend Lehmann, Fabio Lecci et Catherine Kaltenrieder, pour leur aide précieuse dans l'accès au terrain et les échanges stimulants sur les premières pistes d'analyse.
9Les documents historiques ont été mis à ma disposition par mon collègue Lorenzo Bonoli (2011), que je remercie ici.
13La question des écarts salariaux entre apprenti•e•s n'a pas été étudié de manière systématique pour l'instant. En e et, le tissu économique de Suisse romande étant composé principalement de PME, il n'est pas rare que les entreprises n'emploient qu'un•e seul•e apprenti•e, ou tout du moins un•e apprenti•e par année de formation professionnelle. Une analyse comparative des salaires serait de ce fait relativement délicate à mener.