À proximité, une fosse quadrangulaire bordée de dalles de schiste a livré une datation de la fin du III e millénaire et un petit tesson à engobe rouge caractéristique du Campaniforme. Malgré l'absence de toute trace d'ossement en raison de l'acidité du sol, l'hypothèse d'une sépulture chalcolithique isolée paraît la plus probable. Enfin, légèrement à l'écart des ensembles précédents, une trentaine de petits trous de poteau et une tranchée de fondation définissent le plan d'un petit bâtiment quadrangulaire de 10 m par 6 m. Son attribution au tout début du II e millénaire (Bronze ancien) est attestée par la présence de quelques tessons caractéristiques et confirmée par deux datations par le radiocarbone. Le matériel issu de ces vestiges diachroniques a fait l'objet de recherches spécialisées telles que l'étude stylistique, technologique et pétrographique de la céramique, celles du macro-outillage caractérisé par plusieurs polissoirs néolithiques notamment et de l'évolution du paysage environnant grâce à l'anthracologie.