Le mythe de Jérusalem du Moyen Âge à la Renaissance

Abstract

Il est difficile de rendre compte d'un ouvrage collectif parce qu'on ne saurait énumérer les différentes contributions et qu'il est très injuste de mettre en valeur telle ou telle étude au détriment de celles qu'on passe sous silence. En conclusion de la première étude, "Images de Jérusalem dans la littérature médiévale," Jean Larmat résume très bien la visée de l'ensemble de l'ouvrage: Jérusalem est un mythe parce que les images de la ville, qu'offre la littérature médiévale, fournissent un aliment aux attentes et aux besoins des chrétiens: (1) besoin de surnaturel dans la vie quotidienne grâce aux reliques du passé divin et aux miracles qu'elles accomplissent; (2) besoin de salut dans l'au-delà par les indulgences que Jérusalem accordait, soit aux pèlerins qui venaient adorer "le Sépulcre et la Croix," sôit aux croisés qui combattaient pour délivrer le Saint Sépulcre des Sarrasins; (3) besoin de sainteté, idéal inaccessible à la plupart des humains mais dont l'existence paraissait nécessaire à la vie et à la survie de la société.

Jerusalén en la obra de Amos Oz

“…Jerusalén, uno de los mitos religiosos del mundo occidental; Jerusalén, el mito político del estado de Israel. Entre ambas dimensiones, mito religioso / mito político, camina una de las ciudades clave para entender la historia de nuestro entorno desde la Edad Media (Berriot-Salvadore 1995). Las aproximaciones a la ciudad han sido muchas.…”