“…Parmi ceux-ci, les plus visibles sont sans conteste la baisse de la participation électorale, la volatilité des comportements politiques et le cynisme ambiant vis-à-vis les élites et les institutions traditionnelles (Denis, 2005). Ici, comme ailleurs, ce nouveau désordre électoral est bien documenté (Cautrès et Mayer, 2004). Par exemple, il y a une quinzaine d'années, Pattie et Johnston (2003, p. 9) illustraient déjà ce phénomène par quelques chiffres :…”