2005
DOI: 10.7202/501097ar
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Le Terrain socio-musical populaire au Québec : « Et dire qu’on ne comprend pas toujours les paroles… »

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“…La scène punk montréalaise plus localisés, mais plutôt s'inscrivant dans un entrecroisement de lux la traversant, de scapes pour reprendre le terme d'Arjun Appadurai (2001), et de forces en émanant. À l'instar de certains auteurs qui proposent de croiser les deux notions de scène et de communauté (entre autres : Grenier & Morrison, 1995), nous considérons que le punk montréalais peut être compris en superposant les deux tendances. Suivant ces deux axes d'analyse, nous nous attardons dans le reste de cet article à décrire le punk produit à l'intérieur des murs des salles de concerts montréalaises comme une scène où se croisent, d'une part, des lignes de fractures tendant à localiser les pratiques par l'établissement de frontières, et d'autre part, des vecteurs de transgression de celles-ci décloisonnant l'espace culturel et en reconnaissant le caractère métissé.…”
Section: La Scèneunclassified
“…La scène punk montréalaise plus localisés, mais plutôt s'inscrivant dans un entrecroisement de lux la traversant, de scapes pour reprendre le terme d'Arjun Appadurai (2001), et de forces en émanant. À l'instar de certains auteurs qui proposent de croiser les deux notions de scène et de communauté (entre autres : Grenier & Morrison, 1995), nous considérons que le punk montréalais peut être compris en superposant les deux tendances. Suivant ces deux axes d'analyse, nous nous attardons dans le reste de cet article à décrire le punk produit à l'intérieur des murs des salles de concerts montréalaises comme une scène où se croisent, d'une part, des lignes de fractures tendant à localiser les pratiques par l'établissement de frontières, et d'autre part, des vecteurs de transgression de celles-ci décloisonnant l'espace culturel et en reconnaissant le caractère métissé.…”
Section: La Scèneunclassified