Learning and retention of conditioned aversions by freely feeding chicks

Hayne, Harlene; Rovee‐Collier, Carolyn; Collier, George; Tudor, Leslie; Morgan, Cynthia A.

doi:10.1002/(sici)1098-2302(199607)29:5<417::aid-dev2>3.0.co;2-r

Cited by 6 publications

(2 citation statements)

References 44 publications

Supporting

Mentioning

Contrasting

Unclassified

Order By: Relevance

“…First, all animals tested here were adults. There is evidence of ontogenetic differences in retention of taste aversions in rats (Martinez and Rigter 1983) and chicks (Hayne et al 1996), with younger individuals of both species more likely to overcome an aversion. Kea have a protracted juvenile period (Moorhouse and Greene 1995) and exhibit age-related differences in foraging strategy (Diamond and Bond 1991), so further studies on kea should aim to include younger individuals to determine how ontogeny affects aversion learning and retention.…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

Memory retention of conditioned aversion training in New Zealand's alpine parrot, the kea

McLean

Nichols²,

Taylor

et al. 2022

J Wildl Manag

View full text Add to dashboard Cite

New Zealand pest control operations commonly deploy toxic sodium fluoroacetate (1080) baits to control introduced mammalian predators and protect vulnerable native fauna, yet the highly intelligent kea (Nestor notabilis) is at risk of mortality following ingestion of toxic baits intended for their protection. We tested the retention of conditioned aversion in 11 captive kea that had learned to avoid baits containing the bird repellent anthraquinone alongside color, olfactory, and taste cues. We revisited kea over increasing time intervals (3 days, 5 weeks, 3 months, 6 months, and 1 yr) offering them otherwise identical non‐repellent baits. Kea retained their aversion until the final session, 1 year after previous exposure to reinforcement, and almost 2 years since previous exposure to repellent. Whether the kea forgot their aversion or the repeated exposures to non‐repellent baits resulted in extinction of the aversion, our results indicate that kea are capable of remembering an aversion for long enough to be of practical use to conservation managers in reducing kea mortality through 1080 operations.

show abstract

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

Memory retention of conditioned aversion training in New Zealand's alpine parrot, the kea

McLean

Nichols²,

Taylor

et al. 2022

J Wildl Manag

View full text Add to dashboard Cite

show abstract

“…Le poulet plus âgé aurait besoin de plus d'indications que le poussin pour reconnaître son aliment. Par ailleurs, l'aversion conditionnée basée sur une association couleur -malaise (LiCl) n'est pas retenue plus d'une semaine (Hayne et al 1996). Le retour de la consommation de l'aliment coloré, initialement toxique, semble correspondre à une réponse adaptative : les animaux qui excluraient unilatéralement une source alimentaire sur la base d'un unique contact avec un aliment coloré, prendraient le risque d'occulter sur le long terme, de possibles sources alimentaires (Hayne et al 1996).…”

Section: C) L'aversion Alimentaire Conditionnéeunclassified

L’ingestion chez le poulet de chair : n’oublions pas les régulations à court terme

2010

View full text Add to dashboard Cite

Les programmes nutritionnels reposent le plus souvent sur la base de pas de temps d’une journée minimum alors que des phénomènes associés à l’ingestion des aliments induisent des réponses selon des pas de temps beaucoup plus courts. L’ingestion est régulée à long terme au niveau central depuis des boucles de rétroaction des tissus périphériques, afin d’assurer l’équilibre énergétique, et ceci de concert avec la recherche de l’homéostasie protéique et de l’homéothermie. La régulation de l’ingestion à court terme est liée à la nécessité de limiter l’encombrement de l’aliment ingéré, et d’assurer des apports énergétiques et de nutriments réguliers. Chez les volailles, elle est vraisemblablement effective selon un pas de temps inférieur à une heure. Elle fait intervenir des signaux provenant du tractus gastro-intestinal et agissant au niveau central. Les signaux sensoriels conditionnent la réponse à très court terme (< minute). Parmi eux, les capacités visuelles et tactiles sont particulièrement utilisées par les volailles pour apprécier leur aliment. Le comportement alimentaire dépend de ces différentes perceptions qui interagissent entre elles et dépendent aussi de l’expérience de l’animal. Les volailles sont capables de différents types d’apprentissage, par association de sensorialités entre elles ou avec les effets post-ingestifs de l’aliment. Ces informations sont stockées dans la mémoire à long terme et sont réutilisées par l’animal, qui est alors capable d’anticiper les effets d’un aliment qu’il apprend à identifier. Ces apprentissages, permettant à l’animal une meilleure adaptation à son environnement en améliorant sa capacité de choix, interfèrent alors avec les mécanismes de régulation de la prise alimentaire. La prise en compte des préférences alimentaires et des capacités d’apprentissage des volailles, constitue un challenge ambitieux pour les nutritionnistes.

show abstract