“…À la fin de l'Antiquité, le secteur connaît un net recul du nombre d'établissements (Kasprzyk, 2005), à l'exception une nouvelle fois de l'exemple de Granges, qui ne semble guère avoir influencé la trame de l'habitat à venir, même si la question du perchement de l'habitat est sans doute centrale pour la compréhension du peuplement sur la longue durée, comme l'illustrent les études conduites en Auvergne (Chabert, Martinez, 2017) 2005). À l'emplacement de l'ancien habitat, aucun aménagement majeur ne voit le jour à partir de cette date, ce qui permet de disposer de la plupart des substructions médiévales dans les diagnostics d'archéologie préventive de 1992, sans destructions ni obstacles majeurs, à l'exception du réseau routier (Béague-Tahon, Bourdin, 1992, Béague-Tahon, 1993a, Béague-Tahon 1993b, Béague-Tahon, Bourdin, 1993, Béague-Tahon, 1995, Rolin, 1996, Chopelain, 2000, Quenton, Béague-Tahon, 1997, Postel-Vinay, 2000, Gourgousse, Sindonino, 2001, Durost, 2004, Morize, 2006, Truc, 2009, Truc, 2019, Thévenard, 2014.…”