“…Dans l'entretien 14, la personne va encore plus loin lorsqu'elle évoque les différents outils acquis, entre autres, dans le cadre de sa formation d'éducateur spécialisé et utilisés dans la prise en compte des RPS en tant que cadre : écoute active, médiation, circulation de la parole, accompagner l'émergence de la parole, perception des signaux faibles, techniques d'entretiens en gestion de crises. Comme on l'entend, le besoin exprimé par le chef de service n'est pas seulement un besoin de soutien social, mais également un besoin d'élaboration cognitive collective de la situation (Durat, 2014). Dans l'entretien 6, la personne souligne que les GAP existent, mais sont « trop peu nombreux » et dans l'entretien 10, la personne explique qu'il n'existait pas de GAP pour les cadres au moment de la situation évoquée, mais qu'ils ont Ces solutions ont donc reposé soit sur un réseau personnel du chef de service (entretien 5), soit sur une décision ponctuelle de la direction (entretien 9), soit sur une décision de la cheffe de service et du directeur d'aller à l'encontre de la décision de la direction générale, au risque de s'exposer eux-mêmes à une éventuelle sanction (entretien 16) « chez nous les psychos sont vraiment dans leurs missions.…”