“…2). Elles résultent de la toxicité directe des agents coupants (levamisole, gasoil, acide chlorhydrique…) sur les tissus ainsi que des propriétés pharmacodynamiques des drogues (héroïne et immunodépression locale) [1,2,[16][17][18][19][20]. Dans la littérature, ces plaies peuvent aussi être associées à une artériopathie secondaire à des vasospasmes ou à des emboles artériels d'agent coupant non soluble ainsi qu'à des vascularites à ANCA liées à la cocaïne ou à des cryoglobulines secondaire à l'hépatite C [2,16,21,22].…”