“…Nous te nons à ajouter qu'à la surface de la muqueuse vulvaire ainsi atrophiée, peut apparaître parfois un certain nombre de plaques de leucoplasie, lésions d'âge différent nous l'ont m ontré, avec une régularité quasischématique. Les lésions les plus significatives, qu'on pourrait considérer pour ainsi dire pathognomoniques de cette affection, commencent toujours au niveau de la couche papillaire et du derme superficiel, pour s'étendre par la suite au chorion proprem ent dit [7,15,20].…”