Long‐term foster care or adoption? The evidence examined

Abstract

Based on an examination of the research literature, this paper contrasts six variables connected with the outcome of adoption and long‐term fostering. It provides some answers to the question often being asked by policy makers and family placement workers, as well as judges, about the relative merits and limitations of these two forms of substitute parenting for children who cannot return to live with their birth families. Because of the type of child currently adopted or fostered, breakdown rates by themselves are increasingly an unreliable outcome measure. The main defining difference found between these two forms of substitute parenting appears to be the higher levels of emotional security, sense of belonging and general well‐being expressed by those growing up as adopted compared with those fostered long term. However, for reasons outlined in the paper, long‐term fostering still has a definite place for a range of children who require long‐term plans.

La famille d’accueil à vocation adoptive : enjeux et réflexions autour du modèle québécois

“…De nombreuses études ont démontré que l'adoption en contexte de protection de l'enfance favorise la stabilité de placement de l'enfant et présente un très bas taux de rupture une fois le jugement d'adoption prononcé (McDonald, Propp et Murphy, 2001 ;Festinger, 2002 ;Triseliotis 2002 ;Harden, 2004 ;Cushing et Greenblatt, 2009 ;Vinnerljung et Hjern, 2011), cela étant d'autant plus vrai lorsque le placement a lieu en bas âge (Rushton 2004 ;Selwyn et Quinton, 2004 ;Coakley et Berrick, 2008 ;Quinton et Selwyn, 2009) 5 . De plus, les bénéfices développementaux et cognitifs associés à l'adoption, comparativement au placement en famille d'accueil ou au retour dans le milieu familial, ont aussi été documentés (Lloyd et Barth, 2011 ;Christoffersen, 2012).…”

“…Pour ces raisons, et aussi parce qu'elle offre les privilèges et les droits légaux qu'on retrouve dans une famille conventionnelle (Cushing et Greenblatt, 2009), l'adoption, pour les enfants suivis en protection de l'enfance, est généralement entrevue par les services sociaux comme le projet de vie qui offre à l'enfant les meilleures garanties possible de continuité et de stabilité (ACJQ, 2009 ;MSSS, 2010). Dans une étude où il compare le placement à long terme et l'adoption, Triseliotis (2002) conclut que l'adoption, en raison de la stabilité qu'elle apporte et de l'engagement qu'elle exige des parents d'accueil, demeure pour les enfants une option plus sécurisante que le placement à long terme.…”

“…De plus, le processus d'adoption en planification concurrente demeure exigeant en termes d'interventions, de suivi et de dispensation de services : par conséquent, certains s'inquiètent que d'autres options de permanence, comme le placement à long terme ou la tutelle, s'en trouvent par le fait même négligées alors qu'elles peuvent répondre adéquatement aux besoins de certains enfants (Triseliotis, 2002 ;Parkinson, 2003 ;Sargent, 2003 ;Lewis, 2004 ;Macomber, 2009 ;Kirton, 2013). C'est le cas par exemple des enfants qui ont vécu quelques années avec leurs parents d'origine ou encore des enfants qui ont établi des liens significatifs avec leurs parents, sans pour autant que ces derniers ne soient en mesure d'assumer leurs responsabilités parentales.…”

Looking Back on the Long-Term Fostering and Adoption of Children with Harmful Sexual Behaviours: Carers' Reflections on Their Experiences

“…There have also been ongoing debates about whether the permanence of adoption is to be preferred to long term fostering (Triseliotis, 2002). Schofield (2002: 259), for example, poses the question 'Is it possible for foster families, where there are no legal ties between carers and children, to provide care, concern and family membership not only through childhood but also into adult life?'…”

State-designated special needs, post-adoption support, and state fiscal stress

“…Adoption is associated with better educational and psychological outcomes for children than long-term foster care (Hansen, 2006a;Triseliotis, 2002). In addition, governments spend about half as much to support a child who has been adopted as they do to support a similar child who remains in long-term foster care (Barth, Lee, Wildfire, & Guo, 2006).…”