Mobilization of the pullout resistance of geosynthetics in monotonic and cyclic modes is described from both displacement-and load-controlled tests performed at normal stresses in the range 4-17 kPa. The tests were performed on three geogrids and two geomembranes embedded nearly 1.0 m in a uniformly graded sand. Results for load-controlled tests at a constant rate of 0.25 kN/(m⋅min -1 ), followed by several series of load cycles of increasing amplitude, are compared with displacement-controlled tests at a constant rate of 0.5 mm/min. In general the geogrids behave as an equivalent textured sheet. Pullout behaviour, and especially the incremental displacement mobilized at cyclic loads close to the maximum resistance, is found to vary with type of geogrid. In only one case was cyclic pullout resistance of a grid found to exceed the monotonic resistance. A comparison of the cyclic and monotonic response yields a constant ratio of pullout resistance at large displacement, but one which is not unique to a particular specimen. Cyclic strains of decreasing amplitude are mobilized along a test specimen, with most of the necessary relative displacement occurring close to the loaded end and the embedded end showing little response.Résumé : La mobilisation de la résistance à l'arrachement des géosynthétiques en sollicitation monotonique et cyclique est décrite ici à partir d'essais à déplacement ou à charge contrôlés, à des niveaux de contrainte normale compris entre 4 et 17 kPa. Les essais ont été effectués sur trois géogrilles et deux géomembranes enfouies sous près de 1,0 m de sable à granulométrie uniforme. Les résultats d'essais à chargement controlé à un taux de 0,25 kN/(m⋅min -1 ) suivis de plusieurs séries de chargement cyclique d'amplitude croissante ont été comparés avec les résultats d'essais à déplacement contrôlé menés à une vitesse constante de 0,5 mm/min. De façon générale, les géogrilles se comportent comme une feuille texturée équivalente. Le comportement à l'arrachement dépend du type de géogrille de même que le déplacement incrémental mobilisé pour des chargements cycliques proches de la résistance maximale. Dans un seul cas on a trouvé que la résistance à l'arrachement cyclique d'une géogrille pouvait dépasser la résistance monotonique. La comparaison des réponses cycliques et monotoniques indique un rapport de résistance à l'arrachement constant pour les grands déplacements. Ce rapport n'est cependant pas unique pour un spécimen donné. Des déformations cycliques d'amplitude décroissante sont mobilisées le long du spécimen et le déplacement relatif nécessaire prend place près de l'extrémité où la charge est appliquée, l'autre extémité montrant peu de réponse.