Managing iatrogenic trigeminal nerve injury: a case series and review of the literature

Douleur neuropathique chronique suite à une chirurgie implantaire : à propos de 8 cas

“…Notre cohorte, principalement féminine avec une moyenne d'âge de 55 ans, correspondait à la littérature concernant les douleurs neuropathiques iatrogènes du trijumeau qui révèle une grande prédominance féminine, notamment au-delà de la 4 e décennie de vie [6,9]. Pour 6/7 patientes, ces douleurs sont apparues en cours de ménopause.…”

“…Conformément à la prise en charge standard d'une douleur neuropathique, tous les patients ont reçu un traitement médicamenteux par une molé-cule de la famille des anti-épileptiques ou anti-dépresseurs dont l'objectif est d'agir sur la douleur au niveau du système nerveux central. Il faut bien rappeler que toutes ces médica-tions ne sont pas dénuées d'effets secondaires souvent difficiles à accepter pour le patient en plus des symptômes initiaux [6]. Concernant l'intérêt de déposer l'implant en cas de douleur neuropathique, notamment en l'absence de lésions nerveuses radiologiquement décelables, il semble que le délai de prise en charge soit important à prendre en compte.…”

“…En effet, celles-ci peuvent s'accompagner de banales lésions muqueuses par morsure (lèvre et joue) pendant la mastication, jusqu'à une altération de la qualité de vie liée à la difficulté d'alimentation et à la douleur chronique [5]. Par ailleurs, le caractère exceptionnel de ces lésions, le défaut d'information préopératoire (s'il existe) et le manque d'efficacité des protocoles de gestion post-opératoire des douleurs chroniques [6,7] en font des complications très souvent mal acceptées.…”

Indications chirurgicales des lésions iatrogènes du nerf infra-alvéolaire et du nerf lingual : revue de la littérature

“…Sur les articles sélectionnés, quinze provenaient d'Amé-rique du Nord (États-Unis) [4,5,[7][8][9][10][11][12][13][14][15][16][17][18][19], six d'Europe (2 de Grande-Bretagne, 4 du Danemark) [20][21][22][23][24][25] et un d'Australie [6]. Dix études étaient de type cohorte rétrospective [4, 8-9, 11, 17-19, 21, 22, 25], six de type série de cas descriptive [6,7,12,14,20,24], quatre de type revue de la littérature [5,10,[15][16], et deux de type comparative [13,23].…”

A Survey of the Opinion and Experience of UK Dentists

“…[3,4,8,11,27,[31][32][33][34][35][36][37] Iatrogenic TG injuries may result in a neurological deficit ranging from total loss of sensation (anesthesia) to a mild decrease in feeling (mild hypoesthesia), troublesome altered sensation (dysesthesia). [4,21,[38][39][40][41] whereby up to 70% of the affected patients can have pain. [4] These symptoms may be constant, spontaneous or evoked (allodynia is a pain response to a normal stimulus), and interfere significantly with everyday functions such as speech, eating, kissing, amongst many others.…”