à l'Université de Parakou, membre L'université n'entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans cette thèse. Elles doivent être considérées comme propres à leur auteur.À toi mon feu père Kagnakama :de ta position, j'espère que tu comprendras pourquoi je n'étais pas à tes côtés, ce jour fatal qui constitue en même temps le plus sombre de ma vie. Ta volonté a été faite. vi vii REMERCIEMENTS D'emblée, mes remerciements vont à l'endroit des professeurs Jérôme Porta et Noël Gbaguidi. En acceptant de diriger ma thèse, vous avez fait naturellement ce que d'autres ne feraient pas facilement. C'est vous qui avez raison. Vous avez en effet eu raison sur le handicap et tous les préjugés qui l'accompagnent et qui sont communs à toutes les civilisations du monde entier. Ce geste a été toute ma force et je vous en remercie. C'était, pour vous deux, une expérience inhabituelle, mais vous en avez été, à la surprise de tous, à la hauteur. Je vous remercie plus encore pour vos pertinents conseils qui m'ont permis d'y arriver. Ils vont également à l'endroit de tous les membres du présent jury qui n'ont ménagé aucun effort pour l'appréciation de mon travail en dépit de leurs nombreuses occupations. Je dis merci au professeur émérite Antoine Lyon-Caen grâce à qui j'ai pu avoir ce directeur de thèse si fantastique et si merveilleux. Je dis merci à tous les membres, professeurs et chercheurs du COMPTRASEC pour leur accueil chaleureux. Plus particulièrement, je dis merci à madame Isabelle Daugareilh qui, à mon arrivée, s'est battue corps et âme pour me donner des conditions de travail plus qu'optimales. Je me souviendrai de la FIAT et je me souviendrai également que je vous dois une partie de Tir à l'arc mais également celle du cheval. Merci également au directeur actuel, monsieur Philippe Martin, d'avoir perpétré ces dispositions particulières. Je remercie tous mes collègues, camarades et amis doctorants du COMPTRASEC. Sans vous, c'est certain, cette thèse n'aurait jamais vu le jour. Du fond du coeur, j'aimerais vous dire combien vous avez été important pour moi. Quelqu'un était toujours là pour moi au moment j'en avais besoin. Jamais, jamais vous ne m'avez rien refusé même lorsque vous étiez fatigué. C'était moi d'abord avant vous. Quelle gentillesse ! je vous en remercie. Mes remerciements vont à l'endroit de mes « deux mères », Baké Yéba et Bona Véronique Séma pour leur soutien indéfectible et leurs encouragements. Je remercie également mes enfants qui ont été de manière sans cesse renouvelée le pilier de ma force morale. José, comme j'aime t'appeler affectueusement, cette fameuse phrase qui m'a relevé, je ne l'oublierai jamais. Il fallait bien mieux cette thèse que cette dette que tu me réclamais. Tu savais bien qu'elle n'était pas remboursable ! SOMMAIRE PREMIÈRE PARTIE -DU TRAVAILLEUR HANDICAPÉ À LA PERSONNE HANDICAPÉE .