Objective: To assess whether implementing a breast reconstruction database would be feasible in terms of time commitment, cost, and overall benefits in a tertiary-care hospital. Methods: A survey was sent to 40 Canadian plastic surgeons who have a practice focused on breast reconstruction. The survey assessed demographics, practice characteristics, database use, and opinions on database construction. Univariate descriptive analyses were performed on all variables. Results: Thirty-one surgeons responded to the survey (77.5%). Most were from Ontario (29.1%) and worked in an academic center (83.9%). Of all, 45.3% of surgeons performed more than 50 breast reconstructions yearly. Six (19.4%) surgeons utilized databases that were all started for quality improvement and research purposes. Databases included variables such as demographics, type of reconstruction, complications, surgeons involved, and type of implants. Data are input by research assistants (50%) for approximately 4.2 hours per month at a cost below 200$CAD per month. Databases are funded by research grants (50%), hospital funds (33.3%), and/or division funds (16.7%). Of the surgeons without databases, 60% have considered starting a database. Barriers include being too busy (72%) and impressions of the cost being too high (32%). Surgeons commonly felt that a database would be beneficial at their practice (80%), provincially (77.4%), and nationally (67.7%). Conclusions: Plastic surgeons are open to the idea of constructing a breast reconstruction database and that the costs and time required are lower than expected. Grants or integration with existing databases should be pursued on a provincial level first prior to pursuing a national database. Résumé Objectif : Évaluer s'il est possible de créer une base de données de reconstruction mammaire dans un hô pital de soins tertiaires, compte tenu du temps, du coût et des avantages globaux. Méthodologie : Quarante plasticiens canadiens dont la pratique est axée sur la reconstruction mammaire ont reçu un sondage, quiévaluait les données démographiques, les caractéristiques de la pratique, l'utilisation de bases de données et les opinions sur la construction d'une base de données. Les chercheurs ont procédé à des analyses descriptives univariées à l'égard de toutes les variables. Résultats : Trente et un chirurgiens (77,5 %) ont répondu au sondage. La plupart provenaient de l'Ontario (29,1 %) et travaillaient dans un centre universitaire (83,9 %). Ainsi, 45,3 % des chirurgiens effectuaient plus de 50 reconstructions mammaires par année. Six chirurgiens (19,4 %) utilisaient des bases de données qui avaient toutesété lancées pour favoriser l'amélioration de la qualité et la recherche. Ces bases de données incluent des variables comme les données démographiques, le type de reconstruction, les complications, les chirurgiens en cause et le type d'implants. Les données sont saisies par des assistants de recherche (50 %) qui s'y consacrent environ 4,2 heures par mois, à un coût mensuel inférieur à 200 $CAD. Les bases de d...