Nitrogen and water management can limit premature ripening of sunflower induced by Phoma macdonaldii

Testing sunflower inbred lines for tolerance to Phoma black stem

“…Most of field testing is usually done at the stage R3-R5 (Carson, 1991;Sessau et al, 2008), as we did as well, but a vast majority of studies have been done in controlled conditions (Mirić et al, 1999;Roustaee et al, 2000a). Furthermore, our results from the non-irrigated field, compared to the irrigated one, are in concordance with the results of Sessau et al (2010), who found a positive correlation between water stress and P. macdonaldii attack severity. Similar to these results, Fayzalla and Marić (1981) found in their four-year research that disease severity was greater in years with drought periods and less precipitation during vegetation period.…”

A biomarker based on gene expression indicates plant water status in controlled and natural environments

“…As an example, it has been shown that water deficit conditions were significantly involved in the disease severity of premature ripening induced by Phoma macdonaldii susceptibility (Seassau et al . ). In this case, the biomarker for characterizing the water status environment perceived by the plant could be used to perform a screening of Phoma ‐tolerant genotypes adjusting for different water statuses.…”

Amélioration de la résistance aux stress du tournesol : rôle des ressources génétiques, génomiques et bio-informatiques dans les stratégies de recherche

“…Il est toujours délicat de justifier le choix d'une priorité parmi les différentes agressions biotiques auxquelles est soumise une culture. En France, le tournesol est affecté principalement par le mildiou, le sclérotinia, le phomopsis et plus récemment par la « maladie du pied sec » associée à Phoma macdonaldii doi: 10.1684/ocl.2010.0306 (Seassau et al, 2010). Les problèmes associés à la présence du mildiou dans les cultures de tournesol ne sont pas ressentis aujourd'hui comme particulièrement critiques malgré les contournements successifs de gènes de résistances (Delmotte et al, 2008).…”

“…Par ailleurs, la recherche sur les effecteurs du pouvoir pathogène des oomycètes est depuis quelques années en pleine effervescence (Schornack et al, 2009), et les connaissances développées sur des couples hôte-pathogène modèles tels que Solanum tuberosumPhytophthora infestans, Medicago truncatulaAphanomyces euteiches ou A. thalianaHyaloperonospora arabidopsidis sont susceptibles d'alimenter cette démarche. Bien que plus complexe à aborder au plan expérimental, la question de l'interaction entre stress abiotiques et biotiques méritera d'être abordée : à l'échelle de la réaction individuelle de la plante, parce que certaines voies de signalisation, notamment hormonale, se trouvent impliquées dans les deux types de stress (Ton et al, 2009), et à l'échelle de la parcelle agricole dont la conduite culturale (fertilisation, disponibilité en eau) peut influencer le développement de la maladie (Debaeke et Moinard, 2010 ;Seassau et al, 2010).…”