2019
DOI: 10.7202/1062934ar
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« Nous sommes l’un des deux peuples fondateurs et nous voulons être traités comme tel » : la référence canadienne-française dans la presse franco-ontarienne (1969-1982)

Abstract: Tous droits réservés © Mens, 2019Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit.Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l

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“…L'intervention, publiée dans le contexte de l'Accord de Charlottetown, la dernière entente de nature constitutionnelle négociée par le gouvernement progressiste-conservateur de Brian Mulroney afin d'intégrer le Québec dans la Constitution, qui est soumis au vote référendaire en octobre 1992, dégage un ton de nostalgie. Les relations entre le Québec et l'Ontario français semblent être à leur plus bas point depuis des décennies, et le propriétaire du journal, André Paquette, rappelle de douloureux souvenirs de cette fête qui, jadis, produisait une certaine solidarité avec le Québec : Son texte n'est pas sans rappeler son intervention au sujet de ses « frères québécois » lors du référendum de 1980 dans lequel il exhorte les Québécois à ne pas abandonner les francophones (MIVILLE 2018 ;2012).…”
Section: Une Fête Nationaleunclassified
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“…L'intervention, publiée dans le contexte de l'Accord de Charlottetown, la dernière entente de nature constitutionnelle négociée par le gouvernement progressiste-conservateur de Brian Mulroney afin d'intégrer le Québec dans la Constitution, qui est soumis au vote référendaire en octobre 1992, dégage un ton de nostalgie. Les relations entre le Québec et l'Ontario français semblent être à leur plus bas point depuis des décennies, et le propriétaire du journal, André Paquette, rappelle de douloureux souvenirs de cette fête qui, jadis, produisait une certaine solidarité avec le Québec : Son texte n'est pas sans rappeler son intervention au sujet de ses « frères québécois » lors du référendum de 1980 dans lequel il exhorte les Québécois à ne pas abandonner les francophones (MIVILLE 2018 ;2012).…”
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“…Avec la disparition de l'expression « Canadien français » du vocabulaire au Québec, la fête nationale des Canadiens français est devenue la fête nationale des Québécois. Le locuteur n'est plus le Canada français en soi, mais bien le Québec qui aurait « oublié » ou même « volé » la fête de la Saint-Jean-Baptiste, un thème bien présent au sujet de la fête comme en témoigne un documentaire sur ce sujet (GERMAIN 2007 ;MIVILLE 2013).…”
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