“…Cependant, ces concepts restent controversés [15] et les preuves dans l'espèce humaine ont été jusqu'à présent essentiellement circonstancielles [16,17], avec cependant de rares études supportant cette hypothèse [13,18]. Les mesures de contaminants dans le lait maternel étant rares en France [19][20][21], nous avons voulu étudier l'exposition de notre population niçoise à des produits ciblés connus pour ce type d'effet, chez l'animal ou in vitro. Nous avons également établi la prévalence de la cryptorchidie dans notre région et évalué son association à une exposition à ces perturbateurs endocriniens [22].…”