(2012). A novel length back-calculation approach accounting for ontogenetic changes in the fish length -otolith size relationship during the early life of sprat (Sprattus sprattus). Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences, 69(7), 1214 -1229 . DOI: 10.1139 A novel length back-calculation approach accounting for ontogenetic changes in the fish length -otolith size relationship during the early life of sprat (Sprattus sprattus) Claudia C. Günther, Axel Temming, Hannes Baumann, Bastian Huwer, Christian Möllmann, Catriona Clemmesen, and Jens-Peter Herrmann Abstract: An individual-based length back-calculation method was developed for juvenile Baltic sprat (Sprattus sprattus), accounting for ontogenetic changes in the relationship between fish length and otolith length. In sprat, metamorphosis from larvae to juveniles is characterized by the coincidence of low length growth, strong growth in body height, and maximal otolith growth. Consequently, the method identifies a point of metamorphosis for an individual as the otolith radius at maximum increment widths. By incorporating this information in our back-calculation method, estimated length growth for the early larval stage was more than 60% higher compared with the result of the biological intercept model. After minimal length growth during metamorphosis, we found the highest increase in length during the early juvenile stage. We thus located the strongest growth potential in the early juvenile stage, which is supposed to be critical in determining recruitment strength in Baltic sprat.Résumé : Une méthode de rétrocalcul de la longueur basée sur les individus a été mise au point pour le sprat (Sprattus sprattus) juvénile, qui explique les modifications ontogéniques de la relation entre la longueur du poisson et la longueur des otolithes. Chez les sprats, la métamorphose des larves en juvéniles est caractérisée par la coïncidence d'un faible taux d'augmentation de la longueur, d'un taux élevé d'augmentation de la hauteur du corps et du taux de croissance maximum des otolithes. Par conséquent, la méthode définit le point de métamorphose pour un individu comme étant le rayon de l'otolithe correspondant à la largeur maximum des cernes de croissance. L'intégration de cette information à notre méthode de rétro-calcul a donné un taux d'augmentation de la longueur estimé pour le début du stade larvaire de plus de 60 % supérieur au taux prédit par le modèle d'interception biologique. Après un taux minimum d'augmentation de la longueur durant la méta-morphose, la plus forte augmentation de la longueur est notée au début du stade juvénile. Ainsi, nous situons le potentiel de croissance le plus élevé au début du stade juvénile, qui est censé être un moment déterminant de l'intensité du recrutement des sprats.[Traduit par la Rédaction]