“…C'est pourquoi le PCIT n'a cessé de s'étendre et de s'adapter aux besoins des familles, afin d'atteindre les situations cliniques spécifiques. On peut en effet citer l'application ou l'adaptation de ce modèle de thérapie en deux phases aux enfants victimes de maltraitance ou placés en famille d'accueil (Allen, Timmer, & Urquiza, 2016;Mark Chaffin et al, 2004 ;Herschell, Scudder, Schaffner, & Slagel, 2017 ;Kennedy, Kim, Tripodi, Brown, & Gowdy, 2016 ;Timmer, Urquiza, & Zebell, 2006 ;Timmer, Urquiza, Zebell, & McGrath, 2005 ;Topitzes, Mersky, & Mcneil, 2015), avec des troubles internalisés (e.g. anxiété, dépression ; Comer et al, 2012 ;Lenze, Pautsch, & Luby, 2011 ;Luby, Lenze, & Tillman, 2012 ;Puliafico, Comer, & Albano, 2013 ;Puliafico, Comer, & Pincus, 2012), avec des troubles développementaux ou neurodéveloppementaux (e.g.…”