Perimenopausal Symptomatology Among HIV-Infected Women at Least 40 Years of Age

Clark, Rebecca A.; Cohn, Susan E.; Jarek, Cecilia; Craven, Kathleen S.; Lyons, Catherine; Jacobson, Mark A.; Kamemoto, Lori

doi:10.1097/00042560-200001010-00016

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“…(11) Several cross-sectional studies in WLWHIV, almost all using self-reported menstrual pattern to categorize menopausal status, have reported a younger median age at menopause, ranging from 47.5 to 50 years (Table 1). (12)(13)(14)(15) Two prospective studies, including one of very few to have been conducted in Europe, have reported similar findings. (16,17), suggesting that WLWHIV may experience menopause at an earlier age.…”

Section: Natural History Of the Menopause In Women Living With Hivmentioning

confidence: 64%

“…(4) Higher CD4 counts appear to be associated with increased symptoms in HIV-positive women. (13,29) HIV-infection has been found to be associated with increased prevalence, frequency and severity of vasomotor symptoms. (15, 28) Looby et al (27) followed 66 HIV-positive and HIV-negative perimenopausal women longitudinally over a 12-month period, observing an increased severity of vasomotor symptoms in WLWHIV that persisted over time.…”

Section: Symptomatology and Management Of The Menopause Transition Inmentioning

confidence: 99%

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The impact of the menopause transition on the health and wellbeing of women living with HIV: A narrative review

2016

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Improvements in survival due to advances in antiretroviral therapy (ART) have led to a shift in the age distribution of those receiving HIV care, with increasing numbers of women living with HIV (WLWHIV) reaching menopausal age. We present a narrative literature review of 26 studies exploring the menopause transition in WLWHIV, focusing on: (1) natural history (2) symptomatology and management, and (3) immunologic and virologic effects.Data are conflicting on the association between HIV and earlier age at menopause, and the role of HIV-specific factors such as HIV viral load and CD4 count. There are some data to suggest that WLWHIV experience more vasomotor and psychological symptoms during the menopause than HIV-negative women, and that uptake of hormone replacement therapy by WLWHIV is comparatively low. There is no evidence that menopause affects either CD4 count or response to ART, although there may be increased immune activation in older WLWHIV.We conclude that menopause in WLWHIV is a neglected area of study. Specific information gaps include qualitative studies on experiences of reproductive ageing; data on the impact of the menopause on women's quality of life and ability to adhere to health-sustaining behaviors; as well as studies investigating the safety and efficacy of pharmacological and psychosocial interventions. There is likely to be a burden of unmet health need among this growing population, and better data are required to inform optimal provision of care, supporting WLWHIV to maintain their health and wellbeing into their post-reproductive years.Word count: 2065

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Section: Natural History Of the Menopause In Women Living With Hivmentioning

confidence: 64%

Section: Symptomatology and Management Of The Menopause Transition Inmentioning

confidence: 99%

The impact of the menopause transition on the health and wellbeing of women living with HIV: A narrative review

2016

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“…There was a trend toward lower CD4 counts in postmenopausal women (36). Menopausal HIV-infected women demonstrate a higher number of climacteric symptoms, most commonly psychological, vasomotor, and genitourinary symptoms (37,38).…”

Section: Menstrual Disordersmentioning

confidence: 93%

Gynecologic issues in the HIV-infected woman

Cejtin

2003

Obstetrics and Gynecology Clinics of North America

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“…Très peu d'études se sont jusqu'à présent intéressées aux troubles des cycles, aménorrhée, anovulation, et aux troubles de la ménopause en rapport avec l'infection à VIH [54][55][56][57][58][59]. Elles nécessitent un groupe témoin de femmes non infectées, les cycles anovulatoires étant fréquents en population générale (5 à 30 % chez des femmes ayant des cycles réguliers).…”

Section: Aménorrhée Anovulation Ménopauseunclassified

Clinique et transmission du VIH chez les femmes : revue de la littérature

Meyer

2008

Med Sci (Paris)

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RésuméLa progression spontanée de la maladie à VIH des femmes est similaire, voire plus lente, comparée à celle des hommes. L'initiation d'un traitement pourrait ainsi être retardée chez les femmes puisque celui-ci est basé sur des niveaux de CD4 et de charge virale qui sont spontanément plus favorables chez ces femmes. Cependant, la réponse au traitement viro-immunologique et clinique est similaire, voire meilleure, chez elles, en dépit des taux d'interruption plus élevés, peut-être en rapport avec des effets indésirables plus fréquents. En dépit des progrès majeurs sur l'espérance de vie, un excès de mortalité par rapport à la population générale non infectée persiste. L'excès absolu est similaire chez les hommes et chez les femmes, mais la mortalité des femmes étant plus faible en population générale que chez les hommes, l'excès relatif est plus important chez elles. Comprendre les déterminants de ces excès de mortalité et les réduire constituent un enjeu important.Mots clés : sexe, genre, progression de la maladie à VIH, réponse au traitement antiretroviral, effets indésirables, grossesse, cancer du col, ménopause.Les premiers cas de sida ont été décrits en 1981 aux États-Unis chez des homosexuels masculins. À ses débuts, l'épidémie à VIH a été considérée comme touchant essentiellement les hommes homosexuels, alors que la transmission hétérosexuelle était pourtant déjà une réalité dans la plupart des pays touchés par l'épidémie. Les premières cohortes de sujets atteints par le VIH/ sida, constituées dans les années 1983-1984, ont surtout recruté des hommes homosexuels ou hémophiles. Cela explique sans doute, en partie, pourquoi la maladie a été longtemps moins bien décrite chez les femmes. Celles-ci représentent pourtant environ 50 % des personnes atteintes par le VIH dans le monde et plus encore dans certaines régions d'Afrique sub-saharienne. En France, 40 % des nouveaux diagnostics concernent actuellement des femmes. Dans cet article, sont examinés successivement d'éventuelles différences entre hommes et femmes sur le taux de transmission hétérosexuelle de l'infection, sur l'évolution spontanée de la maladie et révolution à l'ère des combinaisons puissantes Transmission hétérosexuelle du VIHPlusieurs études réalisées sur la transmission hétérosexuelle avant l'ère des thérapies antirétrovirale sont montré que le taux de transmission dépendait du stade de l'immunodéficience atteint par le cas index 2 , en termes de stade clinique, de taux de lymphocytes CD4 ou de niveau de charge virale [1,2]. Un très jeune âge était également un facteur de risque de transmission et d'acquisition, de même que, bien sûr, la non-utilisation systématique de préservatif lors des relations sexuelles. Le rôle de la présence d'une infection génitale dans le risque de contamination n'est pas retrouvé de façon constante [1,2], et les études randomisées de prévention des maladies sexuellement transmissibles n'ont pas toutes montré leur efficacité dans la réduction de l'incidence du VIH. Le taux de transmission de l'homme vers la fem...

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Perimenopausal Symptomatology Among HIV-Infected Women at Least 40 Years of Age

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