“…Ces é tudes, essentiellement de type cas té moins, se sont affronté es à des difficulté s mé thodologiques particuliè res : pertinence de l'é valuation de l'exposition à partir de mé tabolites tels que le DDE, né cessité de prendre en compte les facteurs de confusion (â ge, histoire reproductive, tabagisme, alimentation,...), difficulté s du choix des té moins, rô le de l'amaigrissement lié au cancer dans la remise en circulation des pesticides lipophiles. Les ré sultats sont trè s variables en fonction des é tudes et ont é té analysé s dans deux revues ré centes [10,42]. Bien qu'une cohorte pros-O N C O L O G I E pective danoise ait montré un doublement du risque de cancers du sein chez les femmes pré sentant, à l'inclusion, un niveau sé rique de dieldrin é levé [25], la globalité des é tudes é pidé miologiques actuelles ne permettent pas de conclure à une é lé vation de risque.…”