“…Il apparaît, en effet, que les deux anomalies « dysglycémie à jeun » (impaired fasting glucose, ou IFG) et « diminution de la tolérance au glucose » (impaired glucose tolerance, ou IGT) n'ont pas la même signification physiopathologique et clinique [4][5][6]. Par ailleurs, toutes les grandes études de prévention du diabète de type 2 (DT2) publiées au cours des dernières années ont utilisé l'HGPO, à la fois pour dépister les sujets à risque et pour évaluer l'effet favorable du traitement testé, hygiéno-diététique ou pharmacologique [7,8], ce qui continue à faire de cette épreuve dynamique un test de référence quasi-incontournable. Certes, on pourrait éventuellement lui substituer un repas test, considéré comme plus physiologique [9].…”