Pollution atmosphérique et maladies respiratoires allergiques

Allergic Rhinitis and Sports

“…Their peak production is from April to September in the Northern Hemisphere, and a large percentage (40%) is completely absorbed by nasal mucosa (Bousquet, Khaltaev et al 2008). They enhance the production of oxygen's derivatives, increasing the permeability of epithelial cells (Bonay and Aubier 2007). Ozone increases the late-phase response to nasal allergens, increasing the eosinophilic influx after exposure and, in nasal mucosa, the histamine containing and inflammatory cells are increased in number (Delgado, Moreira et al 2006).…”

“…In fact, elite athletes practice sport around the world under different conditions and should be informed to what environment exposure they will be submitted, to adapt themselves and have appropriate preventive measures, namely their allergic symptoms fully controlled. Besides nasal symptoms, lower airway pathways can also be severely affected, with increasing bronchial hyperactivity and asthma (Bonay and Aubier 2007). Tobacco smoke is not advised in all populations, and especially in sports practice.…”

La voie Nrf2 en pathologie respiratoire

“…Les ROS sont également capables de promouvoir la croissance cellulaire voire de favoriser un phénotype cancéreux, ou, à l'inverse, d'induire la sénescence et l'apoptose [4][5][6][7]. Contrairement aux ROS, l'implication des EPII et de leur voie de régulation via Nrf2 dans l'état d'activation cellulaire est peu connue [4,5] En contact direct avec l'environnement extérieur, les voies respiratoires et le poumon sont la première cible des oxydants contenus dans les polluants atmosphéri-ques, notamment la fumée de cigarette [1]. Les cellules du système respiratoire peuvent également être exposées à des oxydants générés localement par les cellules intervenant dans la réponse inflammatoire, en particulier les macrophages et les polynucléaires neutrophiles.…”

Des mécanismes biochimiques aux impacts planétaires de la pollution atmosphérique : uncontinuumde la recherche

“…Il faut, pour comprendre cela, considérer l'important corpus de connaissance disponible aujourd'hui sur les processus inflammatoires induits par les particules ultrafines (corpuscules de l'ordre de la centaine de nm) issues des pots d'échappement des véhicules diesel, motorisation qui est dorénavant la règle pour le transport des marchandises et qui occupe une part croissante du parc des voitures individuelles. C'est à cette connaissance que nous permettent d'accéder les articles de A. Baeza et F. Marano [3], et de M. Bonay et M. Aubier [4]. Les travaux in vitro d'exposition de cellules à un flux de particules diesel, les expérimentations animales ou chez des sujets volontaires mettent en lumière les nombreuses transformations biochimiques et cellulaires induites dans les voies aériennes.…”