Acoustic telemetry is a useful tool to monitor the estuarine survival and behaviour of Atlantic salmon postsmolts. Most frequently, survival is reported as the static fraction of tagged postsmolts detected, and while the timing or location of mortality may be reported, covariates of survival or the relationship between migratory behaviour and survival are less often described. In this study, we used acoustic telemetry to follow Atlantic salmon smolts migrating to sea from four rivers in Nova Scotia, Canada. Further, we tested the relationship between migratory behaviour and survival and used mark-recapture models to examine the role of body length and tag-to-body mass as survival covariates. Survival was most heavily impacted in estuarine habitats closest to head-of-tide. Survival was affected by body length at three of four sites. The shape and spatial variability of the body lengthsurvival relationship provided insight on mortality vectors, highlighting the potential roles of predation and osmotic stress. Survival was not influenced by repeated landward-seaward migratory movements; however, there was a significant correlation between residency and survival.Résumé : La télémétrie acoustique est un outil utile pour la surveillance de la survie et du comportement en estuaire des post-saumoneaux de saumon atlantique. Dans la plupart des cas, le taux de survie signalé est la fraction statique de postsaumoneaux marqués détectés et, si le moment et le lieu de la mortalité peuvent être mentionnés, les covariables du taux de survie ou de la relation entre le comportement migratoire et la survie sont moins souvent rapportées. Dans cette l'étude, nous avons fait appel à la télémétrie acoustique pour suivre des saumoneaux de saumon atlantique en migration de la mer vers quatre rivières de la Nouvelle-Écosse (Canada). Nous avons en outre vérifié le lien entre le comportement migratoire et le taux de survie et utilisé des modèles de marquage-recapture pour examiner la longueur du corps et le rapport entre le poids de la marque et celui du corps comme covariables éventuelles du taux de survie. Les impacts sur ce dernier étaient les plus forts dans les habitats estuariens situés les plus près de la limite de marée. Dans quatre sites, la longueur du corps avait une incidence sur le taux de survie. La forme et la variabilité spatiale de la relation entre la longueur du corps et le taux de survie ont mis en lumière des vecteurs de mortalité, faisant ressortir un rôle possible de la prédation et du stress osmotique. Si les déplacements migratoires répétés vers la terre ou vers la mer n'avaient pas d'incidence sur le taux de survie, une corrélation significative a cependant été notée entre le temps de résidence et le taux de survie. [Traduit par la Rédaction]