1999
DOI: 10.1016/s0921-4488(98)00171-0
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Pregnancy-associated glycoprotein and progesterone profiles during pregnancy and postpartum in native goats from the north-east of Brazil

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“…In cows [31,32] and sheep [33], except for the highest levels on the day of estrus, LH does not vary significantly throughout pregnancy. Additionally, we recorded a concurrent increase in the plasma concentration of progesterone, and this is in agreement with previous reports in pregnant goats [1][2][3][4][5][6][7]. These findings confirm the selective suppressing effect of progesterone on the pituitary secretion of LH through a negative feedback mechanism.…”
Section: Figsupporting
confidence: 93%
“…In cows [31,32] and sheep [33], except for the highest levels on the day of estrus, LH does not vary significantly throughout pregnancy. Additionally, we recorded a concurrent increase in the plasma concentration of progesterone, and this is in agreement with previous reports in pregnant goats [1][2][3][4][5][6][7]. These findings confirm the selective suppressing effect of progesterone on the pituitary secretion of LH through a negative feedback mechanism.…”
Section: Figsupporting
confidence: 93%
“…The assay of steroid hormone concentrations (progesterone, estrone sulfate) at a determined time after insemination/mating aids the early detection of pregnancy (Worsfold et al, 1986;Murray & Newstead, 1988;Refstal et al, 1991;Sousa et al, 1999).…”
Section: Hormonal Assaysmentioning
confidence: 99%
“…Chez la brebis n° 1 007, les concentrations en progestérone sont restées faibles pendant les cinq premières semaines de la gravidité, pouvant ainsi suggérer une synthèse insuffisante de progestérone comme étant à l'origine de la mortalité embryonnaire. Ces résultats vont dans le même sens que ceux signalés suite aux dosages de la Pspb et de la progestérone chez les brebis (32) et les chèvres (13), ainsi que de la PAG et de la progestérone chez les chèvres (34, 35) et chez les vaches (25). Ces travaux confirment que si le dosage de la progestérone (17 e et 21 e jours de gravidité) ou de la PAG (à partir du 28 e jour) permettent de diagnostiquer une gravidité, leur combinaison, en revanche, permet d'identifier les pertes embryonnaires et d'estimer le moment de leur survenue (4,12,24,25,26).…”
Section: Identification Des Différents éVénements Physiopathologiquesunclassified
“…Ces résultats vont dans le même sens que ceux signalés suite aux dosages de la Pspb et de la progestérone chez les brebis (32) et les chèvres (13), ainsi que de la PAG et de la progestérone chez les chèvres (34, 35) et chez les vaches (25). Ces travaux confirment que si le dosage de la progestérone (17 e et 21 e jours de gravidité) ou de la PAG (à partir du 28 e jour) permettent de diagnostiquer une gravidité, leur combinaison, en revanche, permet d'identifier les pertes embryonnaires et d'estimer le moment de leur survenue (4,12,24,25,26). De ce fait, ils permettent de différencier plus précocement des échecs de fécondation, suite à l'insémination artificielle ou à la monte naturelle, de ceux dus à des mortalités embryonnaires.…”
Section: Identification Des Différents éVénements Physiopathologiquesunclassified
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