“…Ce risque a pu être évalué à 5,6 % (2,2 % dans la population géné-rale [15,16] Au total, le DG a longtemps été associé à une augmentation significative de la mortalité périnatale (6,4 versus 1,5 % pour Sullivan) [18,19]. Il est remarquable de constater que les études récentes ne retrouvent plus cette association, mais il est impossible de savoir si cette normalisation du risque est simplement liée aux progrès de l'obstétrique et de la néonatologie, ou bien si la prise en charge spécifique des patientes présentant un DG a pu contribuer à cette avancée [20,21].…”